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19 mai 2009 2 19 /05 /mai /2009 18:35
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Sélection officielle
Séance tenante #7 : “Etreintes brisées”, de Pedro Almodovar, et “Vincere”, de Mario Bellocchio
Le 19 mai 2009 à 17h45 Réagissez réagissez Envoyez à un ami envoyez à un ami   Imprimez imprimez
Tags : Séance tenante     Pedro Almodóvar     Cannes 2009     Marco Bellochio

LE FIL CINéMA - Dans “Séance tenante”, les chroniqueurs de “Télérama”, aiguillonnés par Pierre Murat, débattent à chaud des films en compétition le soir même. Aujourd’hui, échanges d’impressions après la projection d’“Etreintes brisées”, de Pedro Almodóvar, et de “Vincere”, de Mario Bellocchio.

 

La bande-annonce d'"Etreintes brisées" :


La bande-annonce de “Vincere” :

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19 mai 2009 2 19 /05 /mai /2009 13:43
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19 mai 2009 2 19 /05 /mai /2009 13:41
Fréquentation des salles: 2008, année record pour les films français
AFP 19.05.09 | 13h17




En 2008, les salles de cinéma ont enregistré 189,7 millions d'entrées, soit une progression de 6,7% par rapport à 2007 alors que les films français ont établi le record le plus élevé depuis 25 ans avec un total de 86,14 millions d'entrées, selon les chiffres publiés mardi par le Centre national de la cinématographie (CNC). Ces résultats tiennent pour une bonne partie au succès historique de "Bienvenue chez les Ch'tis" mais aussi, selon le CNC, au nombre élevé de films dépassant les 500.000 entrées: 95 films, soit 25% de plus qu'en 2007. 45 films ont dépassé le million de tickets vendus (+12,5%). 36,4 millions de spectateurs sont allés en moyenne 5,2 fois au cinéma, soit 63,7% des Français âgés de 6 ans et plus. Les Français restent les plus gros consommateurs de cinéma en Europe avec 3,2 entrées en moyenne par habitant et par an contre 2,4 pour les Espagnols, 2,7 pour les Britanniques, 1,9 pour les Italiens et 1,6 pour les Allemands. La production est également en hausse à 240 films agréés soit 12 films de plus qu'en 2007, dont 196 d'initiative française. Les investissements dans la production cinématographique progressent de 24,1% pour atteindre 1,490 milliard d'euros, dynamisés par les investissements français (+28,6%) et par les investissements étrangers (+7%). Les films français ont enregistré en outre un "succès historique" à l'étranger avec 84,2 millions d'entrées (+25,1%) soit le plus haut niveau depuis qu'Unifrance, chargé de promouvoir les films français à l'étranger, collecte ces informations réalisant 421,5 millions d'euros de recettes. Les dépenses des ménages en programmes audiovisuels progressent eux de 2,4% à 7,8 milliards d'euros en raison de la croissance des dépenses d'abonnements (+3,3%), de la consommation de films en salles (+7,7%) et en vidéo à la demande (+84,2%). L'année 2008 a vu s'enrichir l'offre des plate-formes de VOD, avec 48 à la fin de l'année. L'an dernier, ce marché a atteint 53 M EUR, pour 13,9 millions d'actes payants. En revanche, le marché de la vidéo est lui de nouveau en retrait, de 7,5% à 1,38 milliard d'euros.
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19 mai 2009 2 19 /05 /mai /2009 13:39

LE MONDE | 12.05.09 |

A SÉLECTION OFFICIELLE

1/ LA COMPÉTITION (films en lice pour la Palme d'or)

Le jury

Présidé par l'actrice française Isabelle Huppert, le jury des longs métrages est composé des actrices Shu Qi (Taïwan), Sharmila Tagore (Inde) et Robin Wright Penn (Etats-Unis), des acteurs, réalisateurs, scénaristes, Asia Argento (Italie) et Nuri Bilge Ceylan (Turquie), du réalisateur, écrivain et scénariste Lee Chang-dong (Corée du Sud), du réalisateur, scénariste James Gray (Etats-Unis), et de l'écrivain, scénariste Hanif Kureishi (Royaume-Uni).

Film d'ouverture (hors compétition)

Up (Là-haut), de Peter Docter - ÉTATS-UNIS -

Films en compétition

Etreintes brisées, de Pedro Almodovar - ESPAGNE -

Fish Tank, d'Andrea Arnold - ROYAUME-UNI -

Un prophète, de Jacques Audiard - FRANCE -

Vincere, de Marco Bellocchio - ITALIE -

Bright Star, de Jane Campion - ROYAUME-UNI/AUSTRALIE -

Map of the Sounds of Tokyo, d'Isabel Coixet - ESPAGNE -

A l'origine, de Xavier Giannoli - FRANCE -

Das Weisse Band (Le Ruban blanc), de Michael Haneke - AUTRICHE/FRANCE -

Taking Woodstock, de Ang Lee - ÉTATS-UNIS -

Looking for Eric, de Ken Loach - ROYAUME-UNI -

Nuit d'ivresse printanière, de Lou Ye - CHINE/FRANCE -

Kinatay, de Brillante Mendoza - PHILIPPINES -

Enter the Void (Soudain le vide), de Gaspar Noé - FRANCE -

Thirst, ceci est mon sang, de Park Chan-wook - CORÉE -

Les Herbes folles, d'Alain Resnais - FRANCE -

The Time that Remains, d'Elia Suleiman - PALESTINE -

Inglourious Basterds, de Quentin Tarantino - ÉTATS-UNIS -

Vengeance, de Johnnie To - CHINE/HONGKONG -

Visage, de Tsai Ming-liang - FRANCE/TAÏWAN -

Antichrist, de Lars von Trier - DANEMARK -

Film de clôture (hors compétition)

Coco Chanel & Igor Stravinsky, de Jan Kounen - FRANCE -


2/ UN CERTAIN REGARD

Le jury

Présidé par le réalisateur et scénariste italien Paolo Sorrentino, le jury d'Un certain regard est composé par Uma Da Cunha (journaliste - Inde), Julie Gayet (actrice - France), Piers Handling (directeur du Festival de Toronto - Canada) et Marit Kapla (directrice du Festival de Göteborg - Suède).

Film d'ouverture (en compétition)

On ne sait rien des chats persans, de Bahman Ghobadi - IRAN -

Films en compétition

Mother, de Bong Joon-ho - CORÉE -

Irène, d'Alain Cavalier - FRANCE -

Precious, de Lee Daniels - ÉTATS-UNIS -

Demain dès l'aube, de Denis Dercourt - FRANCE -

A Deriva, d'Heitor Dhalia - BRÉSIL -

Los Viajes del Viento (Les Voyages du vent), de Ciro Guerra - COLOMBIE -

Le Père de mes enfants, de Mia Hansen-Love - FRANCE -

Amintiri din Epoca de Aur, d'Hanno Höfer, Razvan Marculescu, Cristian Mungiu, Constantin Popescu et Ioana Uricaru - ROUMANIE -

Conte de l'obscurité, de Nikolaï Khomeriki - RUSSIE -

Kuki Ningyo, d'Hirokazu Kore-Eda - JAPON -

Kynodontas, de Yorgos Lanthimos - GRÈCE -

Tzar, de Pavel Lounguine - RUSSIE -

Independencia, de Raya Martin - PHILIPPINES -

Policier, Adjectif, de Corneliu Porumboiu - ROUMANIE -

Nang Mai, de Pen-Ek Ratanaruang - THAÏLANDE -

Mourir comme un homme, de João Pedro Rodrigues - PORTUGAL -

Eyes Wide Open, d'Haim Tabakman - ISRAËL -

Samson and Delilah, de Warwick Thornton - AUSTRALIE -

L'Armée silencieuse, de Jean Van de Velde - BELGIQUE -


3/ HORS COMPÉTITION

Agora, d'Alejandro Amenabar - ESPAGNE -

L'Imaginarium du docteur Parnassus, de Terry Gilliam - FRANCE/CANADA -

L'Armée du crime, de Robert Guédiguian - FRANCE -


4/ SÉANCES DE MINUIT

Panique au village, de Stéphane Aubier et Vincent Patar - BELGIQUE -

Jusqu'en enfer, de Sam Raimi - ÉTATS-UNIS -

Ne te retourne pas, de Marina de Van - FRANCE -


5/ SÉANCES SPÉCIALES

My Neighbor, My Killer (Mon voisin, mon tueur), d'Anne Aghion - FRANCE -

Manila, d'Adolfo Alix JR. et Raya Martin - PHILIPPINES -

Min Ye (Dis-moi qui tu es...), de Souleymane Cissé - MALI -

L'Epine dans le coeur, de Michel Gondry - FRANCE -

Petition (La Cour des plaignants), de Zhao Liang - CHINE -

No Meu Lugar, d'Eduardo Valente - BRÉSIL -

Jaffa, de Keren Yedaya - ISRAËL -


6/ HOMMAGE À FANNY ARDANT

Cendres et sang, de Fanny Ardant (1er film) - FRANCE -


7/ LEE CHANG-DONG PRÉSENTE

Une vie toute neuve, d'Ounie Lecomte - FRANCE/CORÉE -


8/ CANNES CLASSICS

L'Avventura, de Michelangelo Antonioni - ITALIE -

Jeux de tournage, de Stig Björkman - SUÈDE -

Pietro Germi, il bravo, il bello, il cattivo, de Claudio Bondi - ITALIE -

L'Enfer d'Henri-Georges Clouzot, de Serge Bromberg et Ruxandra Medrea - FRANCE -

An uns glaubt Gott nicht mehr (Dieu ne croit plus en nous), d'Axel Corti - AUTRICHE -

Victim (Victime), de Basil Dearden - ROYAUME-UNI -

Les Yeux sans visage, de Georges Franju - FRANCE -

Signore e Signori (Ces messieurs dames), de Pietro Germi - ITALIE -

Pierrot le Fou, de Jean-Luc Godard - FRANCE -

Loin du Vietnam, de Joris Ivens, Jean-Luc Godard, Agnès Varda, William Klein, Chris Marker et Claude Lelouch - FRANCE -

Wake in Fright (Le Réveil dans la terreur), de Ted Kotcheff - ÉTATS-UNIS -

Les Deux de la vague, d'Emmanuel Laurent - FRANCE -

Giu la testa (Il était une fois la révolution), de Sergio Leone - ITALIE -

Accident, de Joseph Losey - ROYAUME-UNI -

Les Chaussons rouges, de Michael Powell et Emeric Pressburger - ROYAUME-UNI -

The Molly Maguires (Traître sur commande), de Martin Ritt - ÉTATS-UNIS -

La Momie - La nuit où l'on compte les années, de Shadi Abdel Salam - ÉGYPTE -

Prince Yeonsan, de Sang-Ok-shin - CORÉE -

Les Vacances de Monsieur Hulot, de Jacques Tati - FRANCE -

Senso, de Luchino Visconti - ITALIE -

Gu Ling Jie Shao Nian Sha Ren Shi Jian (Une belle journée d'été), d'Edward Yang - TAÏWAN -

Redes, de Fred Zinnemann et Emilio Gomez Muriel - MEXIQUE -


9/ COURTS MÉTRAGES EN COMPÉTITION

Le jury

Présidé par le réalisateur, écrivain, producteur britannique John Boorman, le jury des courts métrages et de la Cinéfondation est composé par Bertrand Bonello (réalisateur - France), Ferid Boughedir (réalisateur - Tunisie), Leonor Silveira (actrice - Portugal) et Zhang Ziyi (actrice - Chine).

Films en compétition

The Six Dollar Fifty Man (L'homme qui valait 3,5 dollars), de Mark Albiston et Louis Sutherland - NOUVELLE-ZÉLANDE -

Lars og Peter (Lars et Peter), de Daniel Borgman - DANEMARK -

Rumbo a peor (Mal barré), d'Alex Brendemühl - ESPAGNE -

Missen (Perdre mon temps), de Jochem de Vries - PAYS-BAS -

L'homme à la Gordini, de Jean-Christophe Lie - FRANCE -

Ciao Mama, de Goran Odvorcic - CROATIE -

Klusums, de Laila Pakalnina - LETTONIE -

Arena, de João Salaviza - PORTUGAL -

After Tomorrow (Après demain), d'Emma Sullivan - ROYAUME-UNI -


10/ LA CINÉFONDATION
Courts et moyens métrages réalisés par des élèves d'écoles de cinéma.

 

Le jury

Il est le même que pour les courts métrages en compétition.

Films en compétition

Il Naturalista, de Giulia Barbera, Gianluca Lo Presti, Federico Parodi et Michele Tozzi - Centro Sperimentale di Cinematografia - ITALIE -

Le Contretemps, de Dominique Baumard - La Fémis - FRANCE -

Sylfidden, de Dorte Bengtson - Den Danske Filmskole - DANEMARK -

#1, de Noamir Castéra - ENSAV La Cambre - BELGIQUE -

Gutter, de Daniel Ransom Day - New York University - ÉTATS-UNIS -

Traverser, d'Hugo Frassetto - La Poudrière - FRANCE -

Don't Step Out of the House, de Jo Sung-hee - Korean Academy of Film Arts - CORÉE DU SUD -

Diploma, de Yaelle Kayam - The Sam Spiegel Film & TV School - ISRAËL -

Kasia, d'Elisabet Lladó - IAD - BELGIQUE -

By the Grace of God, de Ralitza Petrova - NFTS - ROYAUME-UNI -

El Boxeador, de Juan Ignacio Pollio - Universidad del Cine - ARGENTINE -

Chapa, de Thiago Ricarte - FAAP - BRÉSIL -

Segal, de Yuval Shani - Tel-Aviv University - ISRAËL -

Goodbye, de Song Fang - Beijing Film Academy - CHINE -

Bába, de Zuzana Kirchnerová- pidlová - FAMU - RÉPUBLIQUE TCHÈQUE -

Malzonkowie, de Dara Van Dusen - PWSFTViT - POLOGNE -

The Horn, de Yim Kyung-dong - Kaywon School of Art - CORÉE DU SUD -



 

LA SEMAINE INTERNATIONALE DE LA CRITIQUE

Films en compétition

Huacho, d'Alejandro Fernandez Almendras - CHILI/FRANCE/ALLEMAGNE -

Ordinary People, de Vladimir Perisic - SERBIE/FRANCE/SUISSE -

Lost Persons Area, de Caroline Strubbe - BELGIQUE -

Adieu Gary, de Nassim Amaouche - FRANCE -

Mal día para pescar, d'Alvaro Brechner - URUGUAY/ESPAGNE -

Sirta La Gal Ba (Whisper with the Wind), de Sharham Alidi - IRAK -

Altiplano, de Peter Brossens et Jessica Woodworth - BELGIQUE/ALLEMAGNE/PAYS-BAS -



LA QUINZAINE DES RÉALISATEURS

Film d'ouverture (en compétition)

Tetro, de Francis Ford Coppola - ARGENTINE/ESPAGNE/ITALIE -

Film de clôture (en compétition)

Ajami, de Scandar Copti et Yaron Shani - ALLEMAGNE/ISRAËL -

Films en compétition

Amreeka, de Cherien Dabis - CANADA/ÉTATS-UNIS -

Les Beaux Gosses, de Riad Sattouf - FRANCE -

Carcasses, de Denis Coté - CANADA -

Daniel y Ana, de Michel Franco - MEXIQUE -

Eastern Plays, de Kamen Kalev - BULGARIE -

La Famille Wolberg, d'Axelle Ropert - FRANCE -

Go Get Some Rosemary, de Benny et Josh Safdie - ÉTATS-UNIS -

Here, de Tzu-Nyen Ho - SINGAPOUR -

Humpday, de Lynn Shelton - ÉTATS-UNIS -

I Love You Phillip Morris, de Glenn Ficarra et John Requa - ÉTATS-UNIS -

J'ai tué ma mère, de Xavier Dolan - CANADA -

Jal Aljido Motamyunseo, de Hong Sangsoo - CORÉE DU SUD -

Karaoke, de Chan Fui (Chris) Chong - MALAISIE -

La Merditude des choses, de Felix Van Groeningen - BELGIQUE -

Navidad, de Sebastian Lelio - CHILI -

Ne change rien, de Pedro Costa - PORTUGAL -

Oxhide II, de Liu Jiayin - CHINE -

La Pivellina, de Tizza Covi et Rainer Frimmel - AUTRICHE -

Polytechnique, de Denis Villeneuve - CANADA -

Le Roi de l'évasion, d'Alain Guiraudie - FRANCE -

La Terre de la folie, de Luc Moullet - FRANCE -

Yuki & Nina, de Nobuhiro Suwa et Hippolyte Girardot - FRANCE/JAPON -

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18 mai 2009 1 18 /05 /mai /2009 18:52
La récession fait exploser la dette et les déficits : le budget 2010 est difficile à bâtir. | AFP/JACK GUEZ
ECONOMIE FRANçAISE
La récession fait exploser la dette et les déficits. Le budget 2010 est difficile à bâtir
Télézapping | Les faits | Zoom
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18 mai 2009 1 18 /05 /mai /2009 16:29
The Crisis of Credit Visualized
3 months ago

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18 mai 2009 1 18 /05 /mai /2009 16:18
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17 mai 2009 7 17 /05 /mai /2009 19:02
http://e-south.blog.lemonde.fr/files/2007/07/alain_touraine.1183407719.jpg Alain Touraine
Dissertation : En quoi les mouvements sociaux reflètent-ils les évolutions économiques et sociales ?
Analyse du sujet
En quoi : Ne pas confondre avec « Dans quelle mesure ». « En quoi » vous impose une relation et vous devez
expliquer/présenter les différents mécanismes (canaux) de la relation ou éventuellement la nuancer alors que
« Dans quelle mesure » vous impose nécessairement de discuter le sujet (« Oui mais… » ou « Non mais… »)
mouvements sociaux : il peut s’agir des conflits du travail (dits mouvements sociaux traditionnels) mais aussi
des « NMS » c’est-à-dire des mobilisations qui n’ont pas pour objet le travail mais des droits ou des idéaux.
[ensemble d’actions collectives qui cherchent à défendre/promouvoir des intérêts +/- généraux].

reflètent : reflet = image parfaitement identique d’un visage sur un miroir, idée de transposition sans
transformation, d’écho, de résonance. Indique un sens dans la relation : évolutions éco & sociales =>
mouvements sociaux (et pas le contraire, donc par les mouvements sociaux comme facteur de changement
social : à garder pour l’ouverture).
definitions:
évolutions économiques et sociales
: tertiarisation, féminisation, déprolétarisation/embourgeoisement,
salarisation, urbanisation, moyennisation, montée de l’individualisme, massification école, montée du rôle des
media et information omniprésente (Internet)…
 un mouvement social est un ensemble de réseaux informels (des organisations et d'acteurs isolés) construit sur des valeurs partagées et de la solidarité et qui se mobilise au sujet d'enjeux conflictuels, en ayant recours à différentes formes de protestation



Extraction des éléments permettant de traiter le sujet dans le dossier documentaire
Document 1 : tertiarisation, montée des cadres (6 à 14%), professions intermédiaires (12 à 18%) et employés
(23 à 32%), déclin des indépendants (agriculteurs 10 à 4% et ACCE 12 à 7%) et ouvriers (40% à 29%),
salarisation (>90%).
syndicalisme = ouvriers, si déclin des ouvriers (forteresses ouvrières), déclin du syndicalisme et de la grève.
Document 2 : diversification et généralisation du salariat, tertiarisation, féminisation, élévation niveau culturel
(massification scolaire), montée de l’individualisme (émancipation des individus plus libres / contraintes
sociales). Nouvelles solidarités : organiques, complémentarité (Durkheim), émancipation des individus face au
contrôle social (la pression social, le « qu’en dira-t-on », la prédominance des normes du groupe et des rituels
sur les choix individuels) = émancipation des femmes, des homosexuels qui font apparaître de nouvelles
revendications collectives : égalité des droits.
Document 3 : Précarisation de l’emploi : montée part des emplois atypiques (CDD, Intérim) dans le privé (5 à
13%) comme dans le public (2 à 13,5%), surtout chez les jeunes salariés (au moins le double).
hypothèse : précarisation = fragilisation des individus qui sont peu en clin à se mobiliser pour leur
salaire ou condition de travail car faible intégration dans les collectifs de travail et risque élevé de ne pas
voir son contrat renouvelé ou transformé en CDI si contestation.
NMS périphériques au travail : mouvement des stagiaires, CPE…
Document 4 : Entre 1996 et 2004, baisse des JINT (presque divisé par 2) mais pic en 2000 à cause des conflits
liés à la RTT : application de la loi sur le passage aux 35h qui oblige les entreprises et les salariés à négocier sur
les modalités (compensations) de passage aux 35h : annualisation contre « pas de diminution de salaire »,
réduction des pauses, hausse plafond recours aux heures supplémentaires etc. ce qui donne lieu à de nombreux
désaccords donc échec des négociations qui donne lieu à des grèves.
Mais la tendance depuis les années 1970 est à la baisse des JINT (/2), paradoxe, crise = moins de grève
car moins à partager ! Diversification des modalités d’action et recours à d’autres formes de
mobilisation que la grève : manifestation, pétition, débrayage…
Document 5 : Opposition « NMS » « MST » (mouvements sociaux traditionnels) : pas les mêmes catégories de
citoyens : femmes, jeunes, classes moyennes, fonctionnaire, minorités versus hommes, ouvriers, majoritaire, du
privé. Pas les mêmes revendications : égalité des droits, défense de valeurs, revendication identitaires et à
l’autonomie versus salaire et conditions de travail.
pas les mêmes modalités d’actions : actions médiatiques, originales et diversifiées versus
grève/manifestation.
Relativiser/nuancer l’opposition NMS/MST (cf l’emploi du conditionnel dans le texte).
Document 6 : « MST » : société fordiste de production et de consommation de masse, valeurs matérialistes
dominent : accroître le bien être et la satisfaction des besoins matériels. « NMS » : société post-matérialiste qui
dépasse les nécessités matérielles car globalement atteintes et se tourne vers des revendication post-matérielles
(identité, culture, droits individuels, hédonisme, droits des minorités etc)
Ajouts de cours
Moyennisation, recul de la conscience de classe (notamment ouvrière), crise du syndicalisme, nouvelles
problématiques de société (environnementales), fin des « trente glorieuses », chômage de masse.
Problématique
Nous voulons démontrer que les transformations économiques et sociales de l’après « trente glorieuses » se
reflètent assez bien dans tous les mouvements sociaux, qu’ils soient liés au travail ou à des problématiques
post-matérialistes nouvelles.

actualité: mouvement des étudiants/université...   mouvements des ouvriers face a la crise....1 mai 2009....mouvement en Gouadeloupe

Plan détaillé possible:
I) LES TRANSFORMATIONS ECONOMIQUES ET SOCIALES NOTAMMENT CELLES LIEES   A L’EMPLOI SE REFLETENT DANS LES MOUVEMENTS SOCIAUX TRADITIONNELS…
                           .1) Tertiarisation, montée des qualifications, féminisation, déclin des ouvriers => diminution des     grèves (mais pas des conflits), désyndicalisation ( taux de syndicalisation), montée des coordinations (infirmières, gendarmes, universitaires). Doc1, doc4
                         2) Chômage et précarisation => diminution des grèves et polarisation des conflits dans les grandes
entreprises et dans la fonction publique qui n’excluent pas des exceptions (35h, CPE). Doc3, doc4
                        3) Chômage et exclusion : des NMS liés au sous-emploi qui échappent aux syndicats : Don quichotte,
DAL, Resto du coeur, Sans papiers, voire émeutes urbaines… cours

II) …MAIS AUSSI DANS L’AVENEMENT DE « NMS »

1) La montée de l’individualisme a mis en scène de nouveaux acteurs : minorités, femmes, classes
moyennes et sup. doc2, doc5
2) Nous serions dans une société post-matérialiste qui fait émerger de nouvelles problématiques de société
et donc de nouveaux objets de conflits transversaux : l’environnement, l’alter-mondialisme, le
pacifisme… doc2, doc6
.3) …mais qui pour autant n’efface pas les anciens acteurs ni les anciennes problématiques : travailleurs des
PCS 5 et 6, revendications pour le pouvoir d’achat et contre la précarité, cf. manifestations 2009. Cours
l
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17 mai 2009 7 17 /05 /mai /2009 15:03

http://www.elpais.com/recorte/20061208elpepieco_1/LCO340/Ies/presidente_BCE_Jean-Claude_Trichet.jpg Jean Claude Trichet

Le 7 mai 2009 Jean Claude Trichet gouverneur de la BCE, Banque Centrale Européenne, a annoncé la baisse des taux directeur  (taux de refinancement) de la zone euro à 1%, un niveau jamais atteint. L’objectif étant d’enrayer la dépression dans la zone euro. En effet depuis l’automne 2008 la crise américaine des subprimes (prêt hypothécaires à taux variables) a contaminé l’économie mondiale, passant de la sphère financière à la sphère de la production , et la croissance  s’est ralentie  et les PIB ont même chutés dans plusieurs pays, l‘OCDE prévoit une baisse de 4% pour la zone euros en 2009 . Les plans de relance se succèdent  et les déficits publics s’envolent . Dans ce contexte il est donc essentiel de s’interroger sur l’effet d’une baisse des taux d’intérêt (loyer de l’argent) sur la reprise de la croissance de la production . La baisse des taux d’intérêt, initié par la BCE et la FED, va-t-elle être suffisante pour sortir de la crise ?
Dans une première partie nous analyserons en quoi, actuellement, une baisse des taux d’intérêt est nécessaire puis dans une deuxième partie nous démontrerons en quoi elle n’est pas suffisante pour permettre une relance de l’économie.


Plan détaillé:
I) En effet la baisse des taux d’intérêt est indispensable à la relance de l’économie
    A) car  la baisse des taux d’intérêt directeur agit sur le refinancement des banques et la  confiance des marchés financiers
        1) la crise des supprimes posant des problèmes de financement aux banques
        2) le rôle des taux d’intérêt directeurs dans le fiancement
        3) elle redonne confiance au marché financier
    B) elle permet le financement l’investissent
        1) des entreprises
            a) présentation des modes de financement des entreprises
            b) les emprunts bancaires, une solution quand les marchés financiers s’effondrent
        2) des ménages par le financement de l’achat des logements qui relancerait le secteur du BTP
    C) elle permet la relance de la la consommation autre composante de la demande intérieure
        1) le rôle du crédit a la consommation
        2) la baisse des taux d’intérêt  dissuade l’épargne de précaution
        
II) cependant la baisse des taux d’intérêt n’est pas suffisante
    A) car les banques ont durci les conditions d’emprunt (resserrement du crédit)
        1) pour le logement car plus de risque d’insolvabilité des ménages avec le risque de chômage
        2) pour les entreprises
    B) l’investissement  des entreprises dépend d’autres facteurs
        1) de la demande anticipée or le niveau de confiance est bas
        2) du revenu disponible des ménages, or avec l’augmentation du chômage il est en baisse au niveau macroéconomique
        4) De la reprise de l’économie mondiale pour les exportations
         3) du taux d’utilisation des capacités de production
    C) une consommation relancée que par le crédit est dangereuse
        1) car problème de surendettement pour certains ménages
        2) risque d’inflation, déjà présente avec la plan de relance et de la compétitivité prix, qui l’accompagne si début de reprise économique

En conséquence il est évident que la baisse des taux d’intérêt est indispensable pour relancer l’économie, les risques d’inflation, actuellement, étant minimum puisque l’économie est en récession… Mais cette baisse ne sera pas suffisante tant que la confiance ne sera pas au rendez vous et que les effets de la crise financière ne seront pas définitivement dernière nous. En effet de nombreuses créances douteuses ne sont pas éliminées. Une meilleur répartition de la valeur ajoutée semble la solution plus structurelle à la crise ainsi qu’une remise à plat de la sphère financière, c’est-à-dire une réglementation internationale des marchés financiers et pourquoi pas la nationalisation des banques? Dans tous les cas les leçons de cette crise est que l’absence de régulation  apporte le chaos et les crises à répétition et non pas l’équilibre général. Adam Smith et  David Ricardo sont tombés à l’eau qui les as poussé? La main invisible..
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13 mai 2009 3 13 /05 /mai /2009 19:45
http://econc10.bu.edu/economic_systems/Theory/Classical/ricard_xacc_anim.gif
David Ricardo
Dici Design

Les avantages comparatifs en pratique

Une jeune entreprise française exporte ses services vers la Corée : va-t-elle se faire copier et rattraper ?

Une question prétexte pour s'intéresser à une vénérable théorie économique : les avantages comparatifs de David Ricardo.


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