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8 mars 2006 3 08 /03 /mars /2006 09:36

la brune et la blonde

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8 mars 2006 3 08 /03 /mars /2006 09:35

BONNNNNSSSSOIIIRRRRRR

Nous sommes d'origine masculine, 18ans et bien portant, 19 même pour moi ! et presque 20 pour notre patron à tous ! Que dire de plus....si ce n'est que la perfection nous jalouse....et que nous sommes à internet ce qu'est Zinedine Yazid Zidane au football....

Nous n'en rajouterons pas plus....à part que nous sommes des piliers essentiels de la classe...allez les bleus et vive zizou !

 

Ptite pub.... http://come-back-c11.skyblog.com ! Que du bonheur !!

Et autre ptite pub...il y a un webmaster dans la classe !! ^^ , www.us-montagnarde.fr

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8 mars 2006 3 08 /03 /mars /2006 09:31

prout!!!!!

j'ai pété en cours l'autre jour!! ki je suis???

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7 mars 2006 2 07 /03 /mars /2006 20:28
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6 mars 2006 1 06 /03 /mars /2006 13:02
 
Le Sénat adopte le projet
de loi controversé sur
l'égalité des chances
LEMONDE.FR | 06.03.06 | 08h06  •  Mis à jour le 06.03.06 | 11h06

Le Sénat a adopté, dans la nuit du dimanche 5 au lundi 6 mars, le projet de loi pour l'égalité des chances, qui instaure le contrat première embauche (CPE), et le contrat de responsabilité parentale, avec menace de suspension des allocations familiales.

 

Le texte, contre lequel les organisations syndicales, estudiantines et lycéennes ont appelé à manifester mardi 7 mars, a recueilli 178 voix contre 127 et 21 abstentions. La gauche unanime a voté contre. La majorité de l'UDF s'est abstenue.

 
 
L'"urgence" ayant été déclarée sur ce projet de loi, c'est à une commission mixte paritaire (CMP), composée de quatorze députés et sénateurs, que reviendra la tâche de parvenir à une rédaction commune aux deux Chambres du Parlement en vue de son adoption définitive. L'Assemblée l'avait adopté automatiquement le 10 février, après que le gouvernement eut engagé sa responsabilité – Dominique de Villepin avait utilisé la procédure de l'article 49-3 de la Constitution pour mettre un terme à la guérilla parlementaire de l'opposition contre le CPE.

Le projet de loi aura été débattu plus de quatre-vingt-dix heures au Sénat, où droite et gauche ont mis à profit toutes les ressources de la procédure pour faire traîner les débats ou les accélérer, avec en ligne de mire la manifestation de mardi. Le gouvernement n'a toutefois pas cédé à la tentation de se prévaloir de l'article 44.3 de la Constitution pour exiger un "vote bloqué", qui l'aurait exposé à l'accusation d'escamoter le débat.

Le CPE avait été adopté tel quel par le Sénat dans la nuit de mardi à mercredi, et le contrat de responsabilité parentale dans la nuit de samedi à dimanche, dans une nouvelle rédaction. Il restait à examiner, dimanche, 42 articles additionnels, faisant l'objet de 180 amendements.

LA GAUCHE FAIT BLOC CONTRE LE PROJET

La gauche PS et PCF, qui a fait bloc avec les radicaux de gauche, peut se féliciter d'avoir tenu tête au gouvernement jusqu'à moins de 36 heures de la manifestation parisienne contre le CPE, et la majorité UMP d'être parvenue à ses fins avant la date fatidique de mardi, sans priver l'opposition de son droit d'expression.

La majorité gouvernementale a toutefois été mise en minorité dimanche soir sur un amendement du président de la commission des affaires sociales Nicolas About (UDF), visant à inscrire dans le code du travail le principe du curriculum vitae anonyme pour favoriser la non-discrimination à l'embauche. Sans y être formellement opposé, le ministre délégué à l'emploi, Gérard Larcher, souhaitait renvoyer cette question à la négociation des partenaires sociaux, dans un cadre plus global.

Adopté en conseil des ministres le 11 janvier dans la foulée de la révolte des banlieues, le projet de loi a été qualifié par le président du groupe PS, Jean-Pierre Bel, de "plus grand contresens de la législature, qui en comporte déjà pas mal". "La mobilisation, demain, vous montrera que nos concitoyens ne sont pas d'accord avec ce projet", a lancé à l'adresse du gouvernement la présidente du groupe communiste, Nicole Borvo. Pour l'UDF, Jean-Marie Vanlerenbergue a dénoncé "un texte fourre-tout, un panier de mesures cosmétiques, dans le meilleur des cas, et dangereuses dans le pire". Dans un communiqué, le groupe UMP s'est réjoui que le projet de loi "ait été adopté à une large majorité par le Sénat", "au terme d'un débat au cours duquel chacun a pu s'exprimer longuement".

 

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6 mars 2006 1 06 /03 /mars /2006 12:59
Point de vue
La "flexicurité",
miroir aux alouettes,
par Philippe Garabiol
LE MONDE | 22.06.05 |

Tous les pays qui ont un taux de chômage deux fois moins élevé que la France ont comme point commun une très grande fluidité du marché du travail. Parmi eux, il existe néanmoins deux modèles : le "libéral anglo-saxon" et le modèle "social-démocrate nordique" .

 

Ce dernier se caractérise par les indemnités élevées dont bénéfice le salarié licencié pendant une période relativement longue, assorties d'un droit à la formation individuelle.

 
En revanche, la fiscalité que nécessite la mise en oeuvre de la politique sociale y est conséquente et a pour corollaire une politique d'immigration très restrictive.

Le Danemark consacre une part aussi importante de son budget à l'emploi que la France pour un nombre de chômeurs deux fois moindre, mais fonde cette logique de solidarité sur une logique ethnique qui n'appartient pas à notre tradition républicaine.

Faut-il pour autant négliger ces modèles et ne pas réduire à leur plus simple expression les règles qui régissent le droit du licenciement ? Le rapport Cahuc prône une telle solution. Le rapport Virville sollicitait la possibilité d'une rupture négociée du contrat de travail. L'objectif est de permettre à l'entreprise de s'émanciper des règles de procédure contraignantes qui imposent l'anticipation à moyen terme des licenciements économiques, dans la mesure où de telles contraintes ne seraient plus compatibles avec la compétitivité internationale.

En contrepartie d'un contrat unique à durée indéterminée dont le terme serait sans préavis, le salarié licencié recevrait une indemnisation plus importante qu'actuellement. Le système a le mérite de la cohérence, et l'exemple danois laisse penser que la "flexicurité" représente la formule magique qui réconcilie croissance économique et impératifs sociaux.

Toutefois, chaque système a sa cohérence. Ainsi, la protection du salarié français en CDI, dès lors qu'il possède une ancienneté dans l'entreprise, a pour contrepartie un salaire relativement médiocre à l'échelle européenne compensé par la capacité du salarié à négocier auprès de sa banque un emprunt à un taux d'intérêt peu élevé. L'équilibre est précaire, et toute modification substantielle nécessite un consensus social. Or il n'est pas évident que la "flexicurité" en bénéficierait.

En effet, le gain en termes de réactivité offert à l'entreprise par l'abolition de la procédure de licenciement économique est compensé pour le salarié licencié par une indemnité très élevée. Une telle rupture de contrat est équitable sous réserve que l'ensemble des entreprises et des salariés en bénéficient. Or cette solution exige des entreprises une augmentation de leurs provisions afin de financer les nouvelles indemnités. Compte tenu de la situation financière actuelle des entreprises, cela signifie que ce nouveau type de licenciement serait réservé aux grandes entreprises.

Il est vrai que ce sont elles qui subissent les plus fortes exigences de compétitivité. Mais réserver "l'autoroute du licenciement" aux seules rares entreprises privilégiées serait socialement inacceptable. Etendre cette procédure aux PME n'est possible que si la collectivité prend en charge une partie des indemnités. Le Danemark a retenu cette solution, ce qui explique en grande partie le haut niveau de sa fiscalité.

Par ailleurs, la fluidité du travail n'est en rien gage de croissance et de création d'emplois. L'exemple du segment particulier que représentent les cadres supérieurs est à ce sujet très révélateur. La rupture du contrat de travail se traduit souvent par une "enveloppe-bagage" : départ immédiat contre indemnités très élevées. Le marché de l'emploi est fluide. Pourtant, le taux de chômage des cadres s'est accru de 5,6 % à 7,1 % de la fin 2001 à mi-2004.

Un marché du travail fluide peut accélérer la croissance mais ne la provoque pas. Celle-ci est d'abord le résultat des politiques monétaire, fiscale, budgétaire. La réussite des pays anglo-saxons et scandinaves tient moins à leur politique sociale qu'à leur indépendance vis-à-vis de l'euro.

Reste que le marché du travail subit en France de forts dysfonctionnements. Il est marqué par la dualité entre deux types de contrats (CDI et CDD) et un très faible taux de licenciements économiques (2 %). Ce taux indique que les entreprises utilisent des stratégies de contournement pour éviter d'être confrontées à des procédures longues, complexes et juridiquement incertaines.

Un objectif fondamental est de redonner vie à la procédure de licenciement économique qui garantit une protection élevée aux travailleurs les plus anciens et les plus fragiles en la simplifiant afin qu'elle n'excède pas un délai raisonnable — six mois devraient être le délai standard. La concertation sociale prendrait tout son sens sur un tel objectif.

Quant à la dualité dans le monde du travail, elle est synonyme de précarité. La durée maximale d'un CDD est insuffisante pour négocier un emprunt bancaire.

Un CDD obligatoirement de trois ans, horizon prévisible d'une entreprise, à côté de contrats intérimaires n'excédant pas quatre mois, pourrait renforcer la situation des salariés en CDD, tout en offrant aux entreprises une plus grande souplesse dans la gestion des effectifs.

La dualité ne serait pas abolie mais rendue plus équitable, ce qui représente déjà un bel objectif politique.


Philippe Garabiol est rapporteur au Conseil d'Etat, maître de conférences à l'IEP de Paris.

 
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6 mars 2006 1 06 /03 /mars /2006 12:53
Le premier emploi, très souvent précaire
LEMONDE.FR | 14.06.05 |

Le premier emploi, très souvent précaire | Le Monde
 
Les jeunes, premières victimes du chômage
LE MONDE | 24.06.04 | 13h04   •  Mis à jour le 07.04.05 | 09h21

Taux de chômage au sens du BIT des moins de 25 ans, de 1994 à 2004. |
 
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4 mars 2006 6 04 /03 /mars /2006 10:15
 
Incertitudes juridiques et
constitutionnelles sur le
 projet de loi pour
l'égalité des chances
LE MONDE | 03.03.06 | 14h24  •  Mis à jour le 03.03.06 | 14h24
 

La discussion du projet de loi pour l'égalité des chances, prévue pour durer jusqu'au 5 mars au Sénat, a mis en lumière de nombreuses incertitudes au plan juridique et constitutionnel, soulevées au cours du débat.

 

La définition du contrat première embauche (CPE) recèlerait deux risques de contentieux, évoqués dans de nombreuses interventions du PS et du PCF, mais aussi de l'UDF voire même de l'UMP. Le premier concerne l'absence de motivation à la rupture du contrat. Or la connaissance du motif de licenciement est inscrite dans les principes du droit, ont ainsi fait remarquer les parlementaires. L'article 24 de la charte sociale européenne prévoit que, "en vue d'assurer l'exercice effectif du droit à la protection en cas de licenciement, les parties s'engagent à reconnaître le droit des travailleurs à ne pas être licenciés sans motif valable lié à leur aptitude ou conduite, ou fondé sur des nécessités de fonctionnement de l'entreprise".

 
Si la charte sociale n'est pas d'applicabilité directe – un salarié ne peut pas s'en prévaloir devant un juge –, elle s'impose aux Etats qui l'ont ratifiée, dont la France. Se pose également la question de la conformité avec la convention nº 158 de l'Organisation internationale du travail (OIT). Dans son arrêt du 19 octobre 2005 sur l'ordonnance portant création du contrat nouvelles embauches (CNE), le Conseil d'Etat a reconnu que celle-ci était d'effet direct dans l'ordre juridique interne. Or cette convention dispose qu'"un travailleur ne devra pas être licencié sans qu'il existe un motif valable de licenciement". Le Conseil d'Etat n'exclut pas que le licenciement sans motif puisse constituer un abus de droit.

Autre difficulté juridique évoquée à propos du CPE : la durée - deux ans - de la "période de consolidation", pendant laquelle l'employeur peut mettre fin au contrat sans préalable. Période de consolidation et non période d'essai, défend le gouvernement, puisqu'elle est assortie d'un préavis et d'une indemnité de rupture. Le doute subsiste quant à la conformité avec la "durée raisonnable" prescrite par la convention nº 158 de l'OIT visant à limiter la "qualifying period".

Le Sénat, qui a adopté l'article sur le CPE sans modifications, devrait en revanche amender plusieurs dispositions du texte gouvernemental, dont certaines risquaient de soulever des motifs d'inconstitutionnalité aux yeux de la commission des lois. Tel est notamment le cas de la section renforçant les pouvoirs de la Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (Halde). Le projet prévoit en effet que celle-ci puisse prendre des sanctions pécuniaires à l'encontre des auteurs de discrimination "sans préjudice des poursuites pénales et des actions en réparation qui peuvent être engagées".

Le Conseil d'Etat a émis un avis défavorable sur ce pouvoir de sanction accordé à la Halde. Un pouvoir qui, s'il lui était reconnu, excéderait les limites des attributions jusqu'alors confiées aux autorités administratives indépendantes. Dans sa décision du 19 janvier sur la loi relative à la lutte contre le terrorisme, le Conseil constitutionnel a, de son côté, rappelé le principe de la séparation des pouvoirs (Le Monde du 21 janvier). Les amendements de la commission des lois du Sénat visent à "doter la Halde d'un pouvoir de transaction pénale respectueux des missions du juge judiciaire".

La reconnaissance des comportements discriminatoires pose par ailleurs le problème du comptage des minorités visibles. La Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) a recommandé, le 5 juillet 2005, que soient respectées les conditions d'anonymat et de confidentialité. Un amendement de la commission des lois du Sénat vise à préciser les conditions d'élaboration et d'utilisation d'un outil statistique "comprenant une typologie des groupes de personnes susceptibles d'être discriminées en raison de leurs origines raciales ou ethniques".

Patrick Roger
Article paru dans l'édition du 04.03.06
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4 mars 2006 6 04 /03 /mars /2006 09:37

Aujourd'hui 10h vient de naitre le blog de la terminale ES2 du Lycée Victor Hugo d'Hennebont.

 

signe astrale:   BIG BANG

 

signe zodiacale:  FOUINE

 

 

 

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