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19 septembre 2009 6 19 /09 /septembre /2009 13:58
Campagne de sensibilisation au climat à Berlin, 2 septembre. | AP/Maya Hitij
AP/Maya Hitij
Campagne de sensibilisation au climat à Berlin, 2 septembre.
LE MONDE | 19.09.09 | 12h07
Washington (Envoyé spécial)

l faut sauver Copenhague: c’est, en substance, la mission des chefs d’Etat qui vont se retrouver à New York, mardi 22septembre, puis à Pittsburgh, les 24 et 25. Alors que la négociation sur le changement climatique – qui doit conduire à un accord international à Copenhague, en décembre – s’est embourbée durant l’année 2009, les réunions américaines pourraient aider à débloquer la situation.

Les chefs d’Etat des pays de l’Organisation des nations unies (ONU) se retrouvent, mardi, pour un sommet sur le climat convoqué par le secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon, la veille de la traditionnelle ouverture de l’Assemblée générale. M.Ban Ki-moon n’a cessé de souligner, depuis un an, la gravité du changement climatique: «Notre pied est bloqué sur l’accélérateur et nous nous dirigeons tout droit vers un abîme», a-t-il ainsi déclaré le 3septembre.

Les responsables des pays du G20 se retrouveront ensuite à Pittsburgh. La situation économique sera au centre des discussions, mais la question du climat est aussi à l’agenda. La négociation climatique s’est crispée sur un clivage Nord-Sud lors de la réunion de Bonn, en août. Les pays émergents reprochent aux pays riches des objectifs de réduction insuffisants, et de mégoter sur le financement de la lutte contre le changement climatique dans les pays pauvres. Les pays riches répondent en demandant que les pays émergents, devenus d’importants émetteurs de gaz à effet de serre, s’engagent à les limiter dans l’avenir.

«LES CHANCES QUE LA LOI SOIT ADOPTÉE AVANT COPENHAGUE SONT PROCHES DE ZÉRO».

La situation semble d’autant plus délicate que les Etats-Unis sont peu mobiles: Barack Obama ne veut pas prendre d’engagement dépassant ce que le Sénat pourrait accepter. Or son projet de loi sur le changement climatique patine au Congrès. Selon Eileen Claussen, présidente du Pew Center, un influent think tank sur le climat, basé à Washington, «les chances que la loi sur le climat soit adoptée avant l’ouverture de la conférence de Copenhague sont proches de zéro».

Mais plusieurs événements ont montré que le blocage n’est pas irrémédiable. D’une part, le nouveau premier ministre japonais Yukio Hatoyama a annoncé, lundi 7septembre, que le Japon allait tenter de réduire de 25% ses émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2020 par rapport à 1990, revoyant à la hausse l’objectif du gouvernement sortant. D’autre part, les chefs d’Etat européens ont envoyé un signal positif sur le financement, lors de leur sommet informel le 17septembre: le texte qu’ils ont adopté indique que «la Commission européenne estime que les besoins financiers  durant la période 2010-2012 sont d’environ 5 à 7milliards d’euros par an, avant même la mise en place d’une nouvelle architecture financière lors d’un traité de Copenhague».

LES EUROPÉENS SONT PRÊTS À AVANCER

Le même texte cite aussi le chiffre de 100milliards d’euros par an à partir de 2020. Mais la position européenne suppose un engagement des pays émergents: «Tous les pays, sauf les moins développés, devraient contribuer au financement du combat contre le changement climatique.» Et, le 18septembre, Nicolas Sarkozy et Angela Merkel ont placé une nouvelle carte sur la table, en jugeant, dans une lettre cosignée adressée à Ban Ki-moon, qu’«il doit être possible de mettre en place des mesures d’ajustement appropriées visant les pays qui ne respecteraient pas cet accord ou n’en seraient pas partie». Autrement dit, les Européens sont prêts à avancer. Et même s’il n’y a pas accord, ils mèneront des actions chez eux – mais instaureront une taxe carbone aux frontières.

La Chine devrait aussi bouger: selon Xie Zhenhua, le principal négociateur sur le climat de ce pays, le président Hu Jintao présentera, mardi à l’ONU, les nouvelles politiques que compte adopter Pékin contre le changement climatique. De manière plus discrète, le Forum des économies majeures, qui a réuni à Washington, les 17 et 18 septembre les ministres de l’environnement des quinze Etats les plus importants de la planète, a aussi avancé. D’une part, l’idée d’un «registre» des actions menées par les pays en développement a progressé. Lister les actions, c’est le premier pas vers une forme d’engagement de limitation des émissions.

D’autre part, le concept de «plates-formes technologiques» se dessine aussi: un ou deux pays serviraient de pilotes pour des partenariats globaux sur des secteurs spécifiques. Plusieurs de ceux-ci ont été spécifiés, tels les énergies solaire et éolienne (avec l’Allemagne et l’Espagne comme pilotes), les agrocarburants (Brésil), les réseaux électriques intelligents (Italie et Chine), les véhicules (France et Canada), la séquestration du CO2 (Royaume-Uni et Australie), l’efficacité énergétique, le charbon, etc. Manière, là aussi, de valoriser et de partager les solutions.


Hervé Kempf
Article paru dans l'édition du 20.09.09

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17 septembre 2009 4 17 /09 /septembre /2009 12:52

une définition de la croissance :




L'exemple de la croissance chinoise :

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17 septembre 2009 4 17 /09 /septembre /2009 12:50
 la complainte du progrès de Boris Vian

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17 septembre 2009 4 17 /09 /septembre /2009 12:34
Au pays du nucléaire

Documentaire (Société)

 JEUDI 17 SEPTEMBRE 2009 / 22H55      Voir dans la grille      Rediff.     
LA NOTE DES INTERNAUTES (1 notes)

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ESSENTIEL CRITIQUE VOS AVIS REDIFFUSION FICHE DÉTAILLÉE
RÉSUMÉ

France, Normandie : la région la plus nucléarisée de la planète. Avec un mélange détonnant d'humour et de sérieux, Esther Hoffenberg voyage dans les méandres d'un secret bien gardé : le nucléaire et le retraitement de ses déchets. En interrogeant à la fois les habitants et les représentants politiques, associatifs et industriels, la réalisatrice dévoile les nombreux aspects d'une réalité angoissante, aussi invisible qu'irréversible. Que signifie vivre avec le nucléaire ? Voyage au coeur d'une des préoccupations écologiques et politiques majeures de ce millénaire, en France comme ailleurs.
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CRITIQUE TÉLÉRAMA

3T
Documentaire d'Esther Hoffenberg (France, 2009). 75 mn. Inédit. L'Arsenal de Cherbourg (qui construit les sous-marins nucléaires), l'« usine » de la Hague, (qui retraite le combustible des centrales), le Centre de stockage Manche (qui abrite des déchets radioactifs), la centrale de Flamanville (qui accueille le réacteur EPR)... La péninsule du Cotentin est la région la plus nucléarisée de la planète. Comment s'en accommode la population ? Esther Hoffenberg confirme d'abord le constat dressé ... La suite
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DIFFUSIONS

FRANCE 2 JEUDI 17 SEPTEMBRE 2009 DE 22H55 À 0H10 (75')

Rediffusions :
Samedi 19 septembre 2009 : FRANCE 2 01h15
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17 septembre 2009 4 17 /09 /septembre /2009 12:30
Moi, Louis, enfant de la mine

Téléfilm dramatique

 JEUDI 17 SEPTEMBRE 2009 / 20H35      Voir dans la grille     
LA NOTE DES INTERNAUTES (1 notes)

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ESSENTIEL CRITIQUE VOS AVIS FICHE DÉTAILLÉE
RÉSUMÉ

A Courrières en 1906, Louis, fils de mineur, descend pour la première fois dans la mine. Une terrible catastrophe va l'emprisonner sous terre durant plusieurs semaines, contraignant l'enfant à manger jusqu'à son col de chemise pour tenter de survivre. A la surface, son ami Charles, fils de l'ingénieur en chef des mines de Courrières, découvre avec consternation que son père soutient la direction dans sa décision de fermer des puits par lesquels d'éventuels survivants pourraient remonter. Trois semaines après le drame, treize miraculés font leur apparition. Parmi eux se trouve le jeune Louis, que ces 21 jours d'angoisse ont radicalement transformé. Il se sent désormais solidaire des mineurs et refuse de renouer avec le fils de celui qui les a lâchement abandonnés...
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CRITIQUE TÉLÉRAMA

2T
Téléfilm de Thierry Binisti (France, 2007). Scénario : Nadine Lermite. 95 mn. Inédit. Avec Morgan Sarpaux : Louis. Arthur Vaughan-Whitehead : Charles. Pascal Elso : Caron. Le 10 mars 1906 est un grand jour pour Louis. A 12 ans, le « galibot » (jeune mineur) descend pour la première fois dans la mine de charbon de Courrières. Mais la grande première tourne au cauchemar : à l'aube, un « coup de poussière » ravage les galeries. Coincé à plus de 300 mètres sous la terre, Louis lutte pour ... La suite
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16 septembre 2009 3 16 /09 /septembre /2009 17:14
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16 septembre 2009 3 16 /09 /septembre /2009 17:07
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16 septembre 2009 3 16 /09 /septembre /2009 17:00
Accueil » Bac SES, Bac Vidéos SES, Vidéos d'EcoDico

Economie africaine : le développement de l’Afrique

Par LeWebPédagogique Publié le 4 décembre 2008 à 3:51 Pas encore de commentaire

Pour regarder d’autres vidéos sur l’économie, et faire les liens avec le programme de SES, rendez-vous sur notre blog EcoDico !


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14 septembre 2009 1 14 /09 /septembre /2009 12:54

Les Matins
par Marc Voinchet
du lundi au vendredi de 7h à 9h
Matins (les)

@ contact présentation aujourd'hui agenda à venir archives


Ecoutez

Podcast



émission du lundi 14 septembre 2009
Commission sur la Mesure de la Performance Économique et du Progrès Social


Jean-Paul Fitoussi et Joseph S
Jean-Paul Fitoussi et Joseph Stiglitz
 © S. Boutata / RF
C’est aujourd’hui que la Commission sur la « Mesure des Performances Economiques et du Progrès Social », présidée par le Prix Nobel d’économie Joseph Stiglitz et coordonnée par Jean-Paul Fitoussi doit remettre son rapport au Président de la République.

A l’origine de ce travail, un constat : le sacro-saint PIB (Produit Intérieur Brut), n’est pas, ou n’est plus l’indicateur idéal de la richesse des pays. Trop attaché à la production, il ne dit rien des autres sources de richesse que sont le capital humain, social, ou encore environnemental d’une nation, qui contribuent au bien-être de la population.
Mais au fait, comment mesure-t-on une notion aussi subjective que le bien-être ? Quels sont les outils déjà à notre disposition ?

Les travaux sur les nouveaux indicateurs de richesse ne datent pas d’hier mais n’ont pas toujours bénéficié de l’écho nécessaire. A deux semaines du G20, le rapport de la Commission a-t-il une chance d’être mieux entendu sur la scène politique ?

Invités

Joseph Eugène Stiglitz.  Economiste américain, Professeur à l'Université de la Colombia Business School à New York. Président de la Commission sur la mesure des performances économiques et du progrès social.

Jean-Paul Fitoussi.  Professeur des Universités, IEP de Paris. Président, OFCE. Coordonnateur de la Commission sur la Mesure de la Performance Économique et du Progrès Social (commission Stiglitz)




des livres à découvrir


Joseph E. Stiglitz
La grande désillusion
Fayard - Avril 2002

Joseph E. Stiglitz tire les leçons de son expérience à la Banque mondiale


Joseph E. Stiglitz
Quand le capitalisme perd la boule
Fayard - octobre 2003

Présentation de l'éditeur :
"Dans ce nouvel ouvrage tout aussi polémique que le précédent, Joseph E. Stiglitz analyse les travers des politiques économiques occidentales des années 1990 à aujourd'hui, démolissant les divers mythes qui ont assuré le "triomphe" (largement surévalué) du capitalisme américain : la main invisible, l'obsession de la réduction des déficits, l'impact positif des guerres…
A travers une démonstration brillante nourrie de multiples faits, témoignages et expériences, s'appuyant toujours sur les mécanismes très concrets de l'économie, Joseph Stiglitz fait ici le procès du libéralisme sans limites."


Joseph E. Stiglitz
Un autre monde : contre le fanatisme du marché
Fayard - Septembre 2006

« Aujourd'hui, il existe une certaine conscience des limites des marchés. Les scandales des années 1990 ont jeté "la finance et le capitalisme de style américain" à bas du piédestal où ils se trouvaient depuis trop longtemps. Plus globalement, on a compris que la perspective de Wall Street, souvent à courte vue, était diamétralement opposée au développement, qui exige une réflexion et une planification à long terme.
On se rend compte aussi qu'il n'y a pas une seule forme de capitalisme, une seule "bonne" façon de gérer l'économie. Il existe d'autres formes d'économie de marché (comme celle de la Suède, où la croissance est restée vigoureuse) qui ont créé des sociétés tout à fait différentes de celle des États-Unis, avec de meilleurs systèmes de santé et d'éducation et moins d'inégalité. Or, du moment qu'il y a des alternatives et des choix, ce sont les processus politiques démocratiques qui doivent être au centre des prises de décision, et non pas les technocrates.
L'un des principaux choix auxquels toutes les sociétés sont confrontées concerne le rôle de l'État. Le succès économique nécessite de trouver le juste équilibre entre l'État et le marché. Quels services l'État doit-il fournir ? Quelles réglementations doit-il instaurer pour protéger les travailleurs, les consommateurs, l'environnement ? Il est clair que cet équilibre change avec le temps, et qu'il sera différent d'un pays à l'autre.
Dans ce livre, je vais démontrer que la mondialisation, telle qu'on l'a imposée, a empêché d'obtenir l'équilibre requis. Je veux souligner cependant que rien n'oblige à ce qu'elle nuise à l'environnement, aggrave les inégalités, affaiblisse la diversité culturelle et favorise les intérêts des grandes firmes aux dépens du bien-être des simples citoyens. Une mondialisation choisie, bien gérée, comme elle l'a été dans le développement réussi d'une grande partie de l'Asie orientale, peut beaucoup apporter aux pays en développement comme aux pays développés. » J.E. Stiglitz

- 4ème de couverture -


Joseph Stiglitz et Linda J. Bilmes
Une guerre à 3.000 milliards de dollars
Fayard - 7 mai 2008

« Aujourd'hui, c'est clair : l'invasion de l'Irak a été une terrible erreur. » Une erreur qui va coûter à l'Amérique quelque 3 000 milliards de dollars, et encore ne s'agit-il que d'une estimation basse.

Joseph E. Stiglitz et Linda J. Bilmes, dans leur calcul, ont tenu compte des coûts déjà supportés, mais aussi et surtout des coûts futurs, délibérément dissimulés par l'administration Bush. Ainsi, la guerre d'Irak va peser sur le budget des États-Unis pendant cinquante ans. De même, les soins aux soldats blessés et les pensions d'invalidité versées aux combattants atteints d'infirmités physiques ou mentales définitives ne vont pas cesser avec la fin du conflit. À cela il faut ajouter l'impact qu'aura la guerre sur l'économie mondiale, un impact déjà sensible à travers la hausse des cours du brut, et qui sera durable.

« Ce qui est si accablant dans la débâcle irakienne, déplorent encore les auteurs, c'est que presque tous les problèmes étaient prévisibles - et prédits. » C'est pourquoi ils concluent leur livre en proposant une série de réformes visant à garantir que les citoyens seront mieux informés si les États-Unis décidaient à l'avenir de s'engager dans une nouvelle guerre de longue durée.

Finalement, le vrai problème ici n'est pas de savoir si l'Amérique pouvait s'offrir une telle dépense ; elle le pouvait. Le vrai problème, c'est tout ce que cette somme aurait pu servir à financer de plus primordial.

- 4e de couverture -


Joseph E. Stiglitz et Andrew Charlton
Pour un commerce mondial plus juste : comment le commerce peut promouvoir le développement
Fayard - Mars 2007

Comment aider les pays pauvres à s'enrichir, par eux-mêmes, grâce à un commerce plus libre et plus juste ?

Dans ce livre stimulant et engagé, le prix Nobel d'économie Joseph E. Stiglitz et son coauteur Andrew Charlton s'attaquent à l'un des grands défis auxquels les dirigeants de la planète sont aujourd'hui confrontés. Ils avancent un modèle radicalement nouveau, et réaliste, pour gérer les relations commerciales entre les pays riches et les pays pauvres. Leur démarche vise à ouvrir les marchés dans l'intérêt de tous et pas seulement des économies les plus puissantes, à garantir que le commerce fera effectivement progresser le développement, et à réduire au minimum les coûts d'ajustement.

Après un bref historique de l'Organisation mondiale du commerce et de ses accords, les auteurs explorent les questions et les événements qui ont conduit à l'échec des négociations de Cancún et les obstacles qui empêchent le Doha Round d'aboutir. Puis ils énoncent les réformes et les principes qui constituent la base nécessaire d'un accord fructueux.

Écrit dans un style limpide, riche en analyses et en exemples concrets, cet ouvrage est incontournable pour tous ceux qui s'intéressent au commerce mondial et au développement.

«La meilleure démonstration à ce jour des potentialités du commerce pour le développement. [...] À lire - et à appliquer - absolument pour faire du Doha Round un instrument de développement.»

José Antonio Ocampo, secrétaire général adjoint des Nations unies pour les affaires économiques et sociales.

- 4ème de couverture -


les liens à parcourir


> Editions Odile Jacob

Le livre issu des travaux de la commission sur la mesure des performances économiques et du progrès social sera publié par Odile Jacob, avec une préface du Président de la République, Nicolas Sarkozy.
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13 septembre 2009 7 13 /09 /septembre /2009 15:38

La croissance définitions et limites

Où l'on s'interroge sur ce que recouvre l'expression "croissance économique" à partir de la notion de valeur ajoutée. Où l'on montre toute la pertinence de cette notion en tant qu'indicateur synthétique de niveau de vie et, en même temps, toutes ses insuffisances. Où l'on présente la notion complémentaire de "développement", l'ambiguïté de sa relation à la croissance, les indicateurs qui lui sont associés.

 

1-La mesure de la croissance:

Données statistiques

2-Les limites de la mesure de la croissance

Illustrations

Données statistiques

3-Croissance et developpement:

Illustrations

Données statistiques

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