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18 novembre 2007 7 18 /11 /novembre /2007 17:04

 Des fiches de synthèse des 8 chapitres de spécialité pour faciliter vos révisions

Les grandes problématiques de L'enseignement de spécialité

Sur cette page, vous trouverez des QCM en ligne pour réviser les 8 chapitres de l'enseignement de spécialité.

QCM Schumpeter: QCM 1

QCM Smith:QCM 1

QCM Keynes:QCM 1

QCM Tocqueville:QCM 1; QCM2

QCM Marx:QCM 1

QCM Durkheim:QCM 1

QCM Ricardo:QCM 1

QCM Weber:QCM 1

 

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18 novembre 2007 7 18 /11 /novembre /2007 16:53
TitreType d'interaction
45 La rentabilité économique Etiquette/Qcm
49 Le calcul de la valeur ajoutée (exemple) Qcm/Texte à trou
52 Le cercle vertueux des investissements publics. Etiquette
54 Le contour de la notion de productivité. Texte à trou/Qcm
1009 Le taux d'épargne des ménages en France depuis 2000. Qcm
61 Le vocabulaire lié au financement des investissements. Qcm
63 Les déterminants de l'investissement. (1). Qcm/Texte à trou
68 Les déterminants de l'investissement. (2) Qcm
70 Les différents types de productivité (exemples et calculs). Texte à trou/Qcm
76 Les différents types d’investissement Qcm
l'investissement

 

 
Combien ?
Qui ?
Quoi ?
Pourquoi ?
Quels effets ?
Test

 

L'investissement
 
Pour connaître les derniers chiffres, cliquer sur Combien ?

Pour savoir qui investit, cliquer sur Qui ?

Pour préciser de quoi se compose l'investissement, cliquer sur Quoi ?
Pour comprendre pourquoi l'investissement varie, cliquer sur Pourquoi ?
Pour découvrir les effets de l'investissement sur la croissance, cliquer sur Quels effets ?
Pour tester et approfondir vos connaissances sur l'investissement en France, cliquer sur Test.
 
 
 
 
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18 novembre 2007 7 18 /11 /novembre /2007 16:51

Le baril de pétrole se rapproche du seuil de 100 dollars. | Atef Hassan/Reuters

Le baril de pétrole se rapproche du seuil de 100 dollars.
La moitié des réserves pétrolières seraient épuisées
LE MONDE | 26.10.07 | 14h19

Le pic pétrolier, le moment où la moitié des réserves de brut de la planète ont été épuisées, aurait été atteint en 2006. L'extraction de l'or noir serait désormais sur une pente déclinante de 3 % par an, et les compagnies n'extrairont plus que 39 millions de barils par jour en 2030 (contre 81 millions aujourd'hui). Telle est la principale conclusion, alarmiste, des experts d'Energy Watch Group (EWG) - créé par le député Vert allemand Hans-Josef Fell - dans un rapport publié à Londres lundi 22 octobre.

 


Pour les scientifiques d'EWG, les réserves prouvées (exploitables et rentables aux coûts actuels) ne sont pas, contrairement aux estimations officielles, de 1 200 milliards de barils mais de 854 milliards. La différence est imputable aux cinq grands producteurs du Moyen-Orient : Arabie saoudite, Iran, Irak, Koweït et Emirats arabes unis. Ils ne posséderaient pas 630 à 710 milliards de barils, comme l'affirment les plus optimistes, mais seulement 340 milliards.

"Dans cette région, la production va décliner dans un avenir proche", affirme le rapport. Ce serait une très mauvaise nouvelle pour les pays consommateurs, qui comptent sur ces réserves pour alimenter leur croissance économique, alors que l'on s'attend à un déclin de la production des pays non membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Russie, Mexique...) à partir de 2010.

"CHANGEMENT ÉCONOMIQUE"

Le niveau exact des réserves est invérifiable. Les pays producteurs ne sont pas tenus à une obligation de transparence. C'est ainsi que l'EWG estime les réserves de l'Iran à 44 milliards de barils (contre 130 officiellement) sur la foi d'un ancien ingénieur de la compagnie nationale (NIOC). Celles de l'Arabie saoudite ne seraient pas de 262 milliards mais de 181 milliards de barils.

 

Les calculs du groupe d'experts allemands s'appuient sur la production actuelle et tiennent compte des difficultés des compagnies (accès aux ressources, retard des projets). Plusieurs majors pétrolières ont accusé, ces derniers mois, une forte baisse de leur production. L'EWG souligne aussi que les grands champs du golfe Persique ont atteint un pic et qu'"une augmentation de l'extraction n'est pas dans l'intérêt à long terme des pays du Moyen-Orient". Notamment des Saoudiens, dont la production serait déjà en baisse.

A ceux qui dénoncent ses méthodes de calcul, l'un des deux auteurs du rapport, Jörg Schindler, répond que "c'est sur cette base qu'EWG a pu annoncer sans se tromper que la production de mer du Nord atteindrait son pic en 2000". L'EWG juge que "le monde est au début d'un changement économique structurel" lié à la déplétion pétrolière, et que l'Agence internationale de l'énergie (AIE) adresse un "message erroné" aux politiques, aux industriels et aux citoyens.

Ces prévisions doivent tout de même être prises avec précaution. Même l'ASPO (Association for the Study of Peak Oil), un groupe d'ex-géologues pétroliers critiques sur l'optimisme des compagnies et de l'AIE, est moins alarmiste. Elle estime qu'on atteindra le pic vers 2011, mais qu'on produira encore 65 millions de barils par jour en 2030 (contre 116 millions pour l'AIE).

Le rapport sert la cause de l'EWG, dont les responsables militent pour les énergies renouvelables (solaire, éolien, biomasse...) et un renforcement de l'efficacité énergétique, seuls capables à leurs yeux de résoudre la crise. Député au Bundestag, M. Fell a été l'un des grands artisans du développement des énergies propres en Allemagne.

Le scénario noir d'EWG sous-estime les progrès dans les techniques d'exploration et de production, qui accroissent le taux de récupération du brut. Il minimise aussi le potentiel des pétroles dits "non conventionnels" (sables bitumineux, huiles lourdes...) rentables avec un baril à 90 dollars, même si leur extraction se fait à des coûts énergétiques et environnementaux élevés. En 1950, juste avant les grandes découvertes des décennies 1950-1970, le rapport entre réserves prouvées et production annuelle était de vingt-deux ans ; il est aujourd'hui de quarante-quatre ans.

Jean-Michel Bezat
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14 novembre 2007 3 14 /11 /novembre /2007 17:13
Spectacle COEURS CROISÉS (Festival Antipodes 2008)

Spectacle COEURS CROISÉS (Festival Antipodes 2008)
Un cabaret mis en scène par Philippe Decouflé

Ce spectacle est exceptionnel. Pour la première fois sortent réunies sur une scène de théâtre d'authentiques créatures de la nuit, des strip-teaseuses et toutes sortes d'artistes des cabarets inconnus du grand public.
Et c'est Philippe Decouflé qui propose ce casting incroyable pour un bric-à-brac néo-burlesque de cirque, de danse, d'érotisme, de comique, de music-hall et d'effeuillage.
Après Nightshade et ses strip-teases chorégraphiés, Les Antipodes nous embarquent à nouveau dans un autre monde.

Tout devient prétexte à effeuillage : on croise une Betty Boop en vraie grandeur, mini-jupe et talons compris, des strip-teaseuses professionnelles et des novices, des musiciens aux langueurs hawaïennes et exotiques.



Infos pratiques
Spectacle Pass Antipodes ou tarif unique : 8,5 euros

Contact
 Accueil du Quartz
02 98 33 70 70
02 98 33 95 01

En savoir plus sur cet événement :
Pour voir la video du spectacle clique sur le lien ci dessous

Coeurs croisés, Decouflé met à nu
- Le spectacle de Decouflé -

Le grand public avait découvert Philippe Découflé à travers la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques d'Albertville ou plus récemment de la coupe du monde de rugby. Le chorégraphe propose cette fois à Rennes un spectacle dans lequel il pulvérise les codes de la danse moderne : "coeurs croisés".

"J'ai voulu montrer qu'il n'y avait rien de vulgaire, rien de choquant dans un strip-tease, qu'au contraire le corps d'une femme, ou d'un homme peut-être magnifique, et j eme suis servi des leviers de l'humour et de la poésie pour le montrer.. Enfin j'espère!"

Bref, une revue érotico-burlesque très proche du cabaret... Destiné à un public averti mais non voyeur... et qui aime rire!  A découvrir au Triangle jusqu'à samedi soir (10 novembre).

 Philippe Decouflé se met à nu

Philippe Decouflé
Philippe Decouflé, né à Paris en 1961, est un danseur et chorégraphe français de danse contemporaine. Chorégraphe populaire, devenu célèbre grâce à la mise en scène des cérémonies d'ouverture et de clôture des Jeux olympiques d'Albertville en 1992, il a constitué une compagnie de danse ecclétique et inventive, rencontrant un grand succès auprès du public depuis les années 1990[1].

Sommaire

[masquer]

Biographie

Formé à de nombreuses disciplines comme le mime avec Isaac Alvarez ou le cirque avec Annie Fratellini[2], il travaille ensuite avec Merce Cunningham et Alwin Nikolais, notamment au Centre chorégraphique national d'Angers.

De retour en France, il crée sa propre compagnie en 1983, à Bagnolet : la compagnie DCA (Diversité, Camaraderie, Agilité), et gagne la même année le premier prix de chorégraphie du concours de Bagnolet et le Prix du ministère de la Culture. Il a réalisé des clips, notamment pour le groupe New Order, ainsi que de nombreuses publicités marquantes des années 1980 dont la fameuse publicité pour Polaroïd, qui a obtenue un Lion d’argent au Festival de Venise en 1989. L'aspect visuel, décalé et même ludique, voire burlesque de sa danse est un élément important de son style, il apporte à ses chorégraphies un coté humain, artisanal, poétique.

En 1989, il est choisi pour organiser plusieurs spectacles, dont La Danse des sabots, lors du défilé du bicentenaire de la Révolution française à Paris. Fort de ce succès, Philippe Decouflé crée en 1992 la mise en scène très remarquée des festivités d'ouverture et de clôture des Jeux Olympiques d'Albertville avec le costumier Philippe Guillotel, qui lui donneront une renommée internationale. En 1993, la compagnie DCA s'installe à la Chaufferie à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) dans une ancienne usine réhabilité à cet effet, et qui depuis est son lieu de résidence, et parfois de représentations.

En 2006, à l'occasion des Journées européennes du patrimoine, il met en scène un défilé de mode à La Villette, appelé L'autre défilé. Les vêtements exposés sont des costumes de scène de la Comédie-Française et de l'Opéra national de Paris.

Il fut également chargé, en 2005, d'une partie des cérémonies d'ouverture de la Coupe du monde de football 2006 en Allemagne[3],[1], avant que le projet ne soit abandonné, notamment pour des raisons budgétaires. Cependant, l'année suivante, Decouflé se voit confier l'organisation des festivités de l'ouverture de la Coupe du monde de rugby 2007 avec notamment une parade à Paris appelée La Mêlée des mondes regroupant un millier de volontaires habitant de la Seine-Saint-Denis[1].

Quelques œuvres marquantes

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6 novembre 2007 2 06 /11 /novembre /2007 08:52
17ème édition

Informations pratiques :


Rencontres Photographiques de Lorient
17 édition
Du 2 novembre au 16 décembre 2007
Entrée libre (plusieurs lieux)
 
Pages :
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 >>

test
© Daniel et Geo Fuchs
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© Antonio Catarino
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© Jürgen Nefzger
test
© Patrick Tourneboeuf
test
© Bogdan Konopka et Luo Yongjin
Volet 1
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© Bogdan Konopka et Luo Yongjin
Volet 2
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© Aki Lumi
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© Franck Beloncle
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© Olivier Jobard
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© Damien Valero
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© Didier Cholodnicki
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6 novembre 2007 2 06 /11 /novembre /2007 08:42
La compagnie chinoise PetroChina vaut plus qu'ExxonMobil et Microsoft
LE MONDE | 05.11.07 | 14h39  •  Mis à jour le 05.11.07 | 14h39
Un employé de la compagnie chinoise PetroChina, le 5 novembre 2007. PetroChina est devenue la première compagnie mondiale par la capitalisation boursière avec plus de 1 000 milliards de dollars (690 milliards d'euros). | AFP/LIU JIN
Un employé de la compagnie chinoise PetroChina, le 5 novembre 2007. PetroChina est devenue la première compagnie mondiale par la capitalisation boursière avec plus de 1 000 milliards de dollars (690 milliards d'euros).


Des employés de la compagnie chinoise PetroChina travaillent sur un forage pétrolier dans le Xinjiang (nord-ouest de la Chine), le 4 novembre 2007. PetroChina est devenue la première compagnie mondiale par la capitalisation boursière avec plus de 1 000 milliards de dollars (690 milliards d'euros). | REUTERS/STRINGER SHANGHAI 
Des employés de la compagnie chinoise PetroChina travaillent sur un forage pétrolier dans le Xinjiang (nord-ouest de la Chine), le 4 novembre 2007. PetroChina est devenue la première compagnie mondiale par la capitalisation boursière avec plus de 1 000 milliards de dollars (690 milliards d'euros).


La première capitalisation boursière mondiale est désormais chinoise. Lundi 5 novembre, lors de sa première séance de cotation à la Bourse de Shanghaï, la valeur de la compagnie pétrolière PetroChina a dépassé 1 000 milliards de dollars (690 milliards d'euros), soit davantage que la capitalisation cumulée des géants américains ExxonMobil (l'ancien numéro un, valorisé 490 milliards de dollars) et Microsoft (346 milliards). PetroChina vaut aussi quatre fois plus que la plus grosse société du CAC 40, EDF (150 milliards d'euros).

 

PetroChina doit son record à une entrée fracassante à la Bourse de Shanghaï. Déjà cotée à Hongkong et à New York, la société a levé 8,9 milliards de dollars en s'enregistrant sur cette troisième place. Lundi pour sa première cotation, son cours a presque triplé en séance, engrangeant 163 % à la clôture.

La flambée de PetroChina est une nouvelle illustration de la frénésie boursière en Chine. Si la plupart des places financières des pays émergents s'envolent, celle de la République populaire bat tous les records. Depuis janvier, l'indice de Shanghaï a progressé de plus de 110 %. Et avant PetroChina, les banques China Construction Bank et Citic ont levé des montants spectaculaires de capitaux.

L'envolée de la Bourse chinoise est essentiellement due aux investisseurs locaux. Le pays est encore hermétique aux capitaux étrangers et il est difficile pour un Chinois d'investir à l'étranger. Or, avec une croissance de plus de 11 % l'an, les revenus des ménages explosent et ces derniers plébiscitent la Bourse pour faire fructifier leur épargne.

Pour l'heure, acheter des actions offre un rendement nettement supérieur à l'inflation (au-dessus de 6 %) ou à un livret d'épargne. Mais cela reste risqué. "Le marché chinois est un peu comme un casino géant", s'inquiète ainsi Vincent Strauss, gérant chez Comgest.

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2 novembre 2007 5 02 /11 /novembre /2007 14:12
 
Etats-Unis : incertitudes économiques et monétaires
LE MONDE | 01.11.07 | 16h20  •  Mis à jour le 01.11.07 | 16h20

Ben Bernanke, patron de la Réserve fédérale américaine (Fed), le 27 avril 2006. | AFP/JOSHUA ROBERTS

Ben Bernanke, patron de la Réserve fédérale américaine (Fed), le 27 avril 2006.


Pour la seconde fois en deux mois, la banque centrale américaine a réduit le loyer de l'argent, d'un quart de point de pourcentage. Les membres de la Réserve fédérale (Fed) ont décidé, mercredi 31 octobre, de faire passer le taux des fonds fédéraux de 4,75 % à 4,5 %, et le taux d'escompte de 5,25 % à 5 %.

 

La banque centrale a jugé que "la décision prise aujourd'hui, combinée à celle de septembre, doit permettre de contrer certains des effets économiques défavorables qui pourraient, sinon, survenir à la suite des perturbations sur les marchés financiers et de promouvoir une croissance modérée dans le temps".

"Les hausses récentes des prix de l'énergie et des matières premières, entre autres facteurs, pourraient relancer les pressions sur l'inflation", s'inquiète toutefois la Fed. Elle estime "qu'un certain risque d'inflation demeure" et qu'après sa décision d'abaisser les taux mercredi, "ce risque" est à peu près équivalent à celui d'une "baisse de la croissance".

Les prix à la consommation aux Etats-Unis, au mois de septembre, avaient augmenté un peu plus que prévu, progressant de 0,3 % par rapport à août, et de 0,2 % hors énergie et alimentation. Sur un an, la hausse des prix avait atteint 2,8 % (après 2 % en août, soit la plus forte progression enregistrée depuis mars), et de 2,1 % hors énergie et alimentation.

 

CRAINTE D'UNE RÉCESSION

 

Les autorités monétaires américaines laisseraient-elles entendre qu'il s'agit de la dernière fois qu'elles abaissent les taux directeurs cette année ? A trop assouplir la politique monétaire, la banque centrale pourrait en effet attiser l'inflation.

L'un de ses membres, le président de la banque centrale de Kansas City, Thomas Hoenig, connu pour ses positions dissidentes au sein du comité de décision monétaire, souhaitait que la Fed ne modifie pas ses taux mercredi.

D'autant que la croissance paraît résister à la crise immobilière. Selon les statistiques publiées mercredi, le produit intérieur brut (PIB) américain a progressé de 3,9 % en rythme annuel au 3e trimestre, grâce à la vigueur de la consommation et au dynamisme des exportations.

Mais les signes de fragilité de l'économie américaine se multiplient. La confiance des consommateurs, mesurée mardi par l'institut privé de conjoncture Conference Board, est ainsi tombée à son plus bas niveau en deux ans en octobre. Celle établie par l'université du Michigan est au plus bas depuis plus d'un an. Quant au marché de l'immobilier, il n'a montré aucun signe d'amélioration au mois de septembre.

La crainte d'une récession s'est même accentuée récemment. Près de deux tiers des Américains pensent qu'une récession est probable l'an prochain et une majorité estime que l'économie a déjà trébuché, selon un sondage Bloomberg-Los Angeles Times, paru le 25 octobre.

Les économistes de Wall Street accordent en moyenne plus d'une chance sur trois au scénario de récession. Le modèle mathématique utilisé par la banque américaine Morgan Stanley indique que l'économie est passée dans la zone rouge dite de "décélération-risque de récession".

Ce qui est d'autant plus inquiétant puisque, depuis 1991, cet indicateur a correctement anticipé les récessions dans 74 % des cas. Le modèle de la banque concurrente, Merrill Lynch, donne 50 % de risques de récession.

Même Alan Greenspan, l'ancien patron de la Fed, est passé d'une chance sur trois à une sur deux de voir l'économie du pays plonger dans la récession.

Si la banque centrale américaine a tenté de dissuader, mercredi, les acteurs de la finance de parier sur une baisse des taux lors de sa prochaine réunion monétaire, le 11 décembre, son jugement dépendra des prochaines données économiques. La tournure que prendra la crise financière, l'évolution du secteur immobilier et, surtout, le comportement de consommation des ménages seront déterminants. Les premières indications concernant les ventes de Noël offriront de précieux renseignements.

Les économistes ont, eux, du mal à partager l'optimisme de la banque centrale américaine. Trop de signes de faiblesse peuvent hypothéquer la croissance selon eux. De nombreux experts, chez UBS, Merrill Lynch, ING ou Natixis, n'ont donc pas modifié leur prévision d'une baisse des taux d'un quart de point en décembre. Et, sur les marchés financiers, le scénario d'une baisse équivalente après le mois de janvier 2008 est déjà intégré dans les cours.

La réaction des intervenants sur les marchés financiers a été de vendre du dollar, d'acheter des actions, de l'or et du pétrole. L'euro a ainsi franchi pour la première fois le seuil de 1,45 dollar (1,4504 dollar). Le prix du pétrole a dépassé la barre des 96 dollars, jeudi matin, sur les marchés asiatiques. Les contrats à terme sur l'or ont atteint 800 dollars l'once, du jamais-vu depuis 1980. Enfin, à Wall Street, l'indice Dow Jones a fini, mercredi, en hausse de 1 %.

Cécile Prudhomme
 
La baisse des taux de la Fed porte l'euro et le pétrole à de nouveaux records
LEMONDE.FR Avec AFP et Reuters | 01.11.07 |

La nouvelle baisse du principal taux directeur de la Réserve fédérale américaine (Fed), à 4,5 %, mercredi 31 octobre, a donné un nouveau coup de fouet à l'euro, qui connaît une spirale haussière depuis plusieurs semaines. La monnaie unique européenne a franchi pour la première fois le seuil de 1,45 dollar, atteignant 1,4504 dollar.

 

La décision de la centrale américaine, conjuguée à l'annonce d'une forte chute des stocks de brut aux Etats-Unis, a également propulsé le prix du baril de brut de pétrole au-dessus des 96 dollars, jeudi 1er novembre, dans les échanges électroniques en Asie. Le baril de "light sweet crude" pour livraison en décembre a ainsi atteint 96,24 dollars et celui de Brent de la mer du Nord 91,62 dollars."Il semble que l'objectif est désormais un prix à trois chiffres", a indiqué Tony Nunan, de Mitsubishi Corp à Tokyo, faisant référence au seuil psychologique des 100 dollars.

POUR UN  "PRIX D'ÉQUILIBRE" DU PÉTROLE

Selon le département américain de l'énergie, les réserves de brut ont diminué de 3,9 millions de barils à 312,7 millions de barils, lors de la semaine achevée vendredi 26 octobre. La nouvelle a pris au dépourvu le marché, car les analystes s'attendaient au contraire à une progression de 400 000 barils.

Les prix records du pétrole pourraient entraîner une hausse des investissements dans les sources d'énergie alternatives, a estimé le ministre du pétrole équatorien dans une interview publiée, jeudi, par le Financial Times. Selon Galo Chiriboga, dont le pays devrait prochainement rejoindre l'Opep, le principal défi du cartel dans les prochaines années sera de "préserver un prix d'équilibre permettant de maintenir le pétrole brut en position favorable face aux sources d'énergie alternatives". Il a néanmoins estimé que les alternatives au pétrole mettraient du temps à se matérialiser, notamment dans le secteur du transport, et que "la forte demande en Chine et en Inde maintiendra les prix du pétrole à un niveau élevé".

La Chine a augmenté, jeudi, de 8 % les prix des principaux carburants pour permettre aux groupes pétroliers du pays d'accroître la production et éviter la pénurie, une situation aiguisée par les cours élevés du brut sur les marchés mondiaux.

 

 

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1 novembre 2007 4 01 /11 /novembre /2007 15:25

photographie de SALGADO

UNE CROISSANCE EST ELLE COMPATIBLE AVEC UN DEVELOPPEMENT DURABLE?

Entrainement en ligne à la dissertation  clique sur le lien ci dessous: 

 http://www.ac-nice.fr/ses/dissertes/diss1/diss1.html

Corrigé: plan détaillé

Introduction : Le Grenelle de l'environnement initié par Nicolas Sarkozy vient de prendre fin et il n ' a pas reglé les désaccords concernant la croissance qui selon la définition de François Perroux  correspond à « l'augmentation soutenue pendant une ou plusieurs périodes longues d’un indicateur de dimension, pour une nation, le produit global net en termes réels ( PIB en volume pour la France)». et la protection de l'environnement même si certaines mesures ont été prises. La pauvreté, 1,2 milliard d'individus dans le monde  vivient avec moins d'un dollar par jour, le rechauffement climatique, la pénurie annoncée des matières premières , prix du baril de pétrole qui approche les 100$, font  se demander si la croissance peut s'accompagner  d'un  développement durable c'est a dire. un développement qui répond aux besoins des générations du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs.?  Si les ressources naturelles sont détruites, comment se poursuivra la croissance ? entre le discours alarmiste des uns et celui productiviste des autres il est essentiel de repositionner le débat. Pour étudier ces problèmes, nous analyserons dans une première partie à quelles conditions la croissance peut s' accompagner d'un développement  durable puis dans une seconde les situations où ce ne sera pas le cas.

I. La croissance économique  et le développement durables peuvent aller de pair
1- la corissance economique necessaire a la création de richesse source amélioration du niveau de vie la population devient plus soucieuse de son environnement

2-  la croissance induit des effets sociaux positifs (baisse de la pauvreté, allongement de l'espérance de vie, education..) composante du developpement durable

3-  la création de richesse peut  finance l'innovation plus soucieuse de l'environnement autre composante d'un développement durable ....ex pays nordiques, Allemagne, Japon...

 II. Mais, il existe de mauvaises croissances.
Ce sont celles qui ne répartissent pas équitablement les fruits de la croissance et détruisent l'environnement    
1-  écart entre croissance et développement  lié à la mesure de la croissance.croissance sans prise en compte des externalités négatives (pollution, cout du traitement des déchets, maladies...)

2 la croissance productivistes qui va a l'encontre du developpement durable:  stress , maladies professionnels, suicides , inégalité,

3- la croissance  qui détruit l'environnement :
Les problèmes écologiques ne sont pas toujours pris en compte en particuliers par les pays pauvres qui n'en ont pas les moyens  ou par les firmes multinationales pour des intérêts à court terme ( compagnie petrolière, automobiles, chimiques.....) qui constituent de plus des lobbies auprès des pouvoirs politiques pour freiner la mise en place des réglementations indispensables.

Conclusion :  Croissance et développement  sont deux concepts à ne pas confondre. Ils vont souvent l'un avec l'autre quand les gains de productivité profitent aux consommateurs et aux salariés mais peuvent aussi aller sans l'autre si n'est visé que le court terme et la rentabliité immédiate.Si certains aujourd'hui rêvent du retour de la croissance pour voir se résoudre tous nos maux (chômage, délinquance, etc.), d'autres se disent que, pour améliorer le développement humain et faire en sorte qu'il soit durable, il vaudrait mieux renoncer à la « mauvaise croissance » voire à la croissance tout court. et pronent  la "croissance O."..Jusqu'à présent l'espèce humaine à toujours fait preuve d'inventiblilté pour faire face aux problèmes qui lui paraissait pourtant insurmontables gageons qu'il en sera de même pour trouver une croissance permettant de reduire durablement les inégalités et préserver notre planète....c'est le défi de ce siècle.

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1 novembre 2007 4 01 /11 /novembre /2007 15:02

 

  Colbert             Keynes                 Weber               

CORRIGE question de synthèse appuyée sur un travail préparatoire.

 

Thème : croissance, développement et changement social

 

Questions préalables :

 

1- Distinguez les différentes catégories d'actions de l'Etat mentionnées dans le texte. (Doc 1)(1 point)

 

A partir du  18e et  de la révolution industrielle l’Etat va intervenir de différentes façons :

 

Par la mise en place d’un cadre favorable au développement économique :

 

  • En établissant un cadre juridique et administratif  facilitant le développement de l’activité économique

     

  • Par la mise en place de barrières douanières pour la protection de certaines industries 

     

  • En facilitant la mise en place d’un système bancaire indispensable pour le financement des investissements privés

     

Par des dépenses publiques :

 

  • En intervenant dans à la mise en place d’infrastructures de transport et de communication

     

  • En mettant en place un système éducatif

     

2-       Quelles sont les justifications d'une intervention de l'Etat dans les domaines des transports ou de l'éducation ? (Doc 1)(2 points)

 

 La production des services collectifs pose la question de l’intervention de l’Etat dans la sphère économique de manière à satisfaire un certain nombre de besoins, c’est le cas du domaine des transports ou de l’éducation

 

L’existence de  rendements d’échelle croissants : certains services nécessitent des investissements si importants qu’ils ne peuvent être rentables que s’ils sont consommés en masse. La concurrence entre producteurs est alors impossible puisque la production ne peut être rentable que si elle provient d’un seul intervenant. La création d’un monopole d’Etat ou le versement de subventions par les pouvoirs publics  (canaux, chemin de fer, réseau routier…) sont alors les seuls moyens pour pouvoir produire ces services collectifs. D’où l’intervention de l’Etat dans les domaines des transports.

 

Les externalités : certaines activités ont un effet qui se diffuse à l ‘ensemble de la société sans qu’il soit possible pour un agent particulier d’en limiter la diffusion. Le financement de ces activités n’est donc pas assuré de manière efficace par le secteur privé puisque personne ne souhaite dépenser de l’argent au profit des autres. L’Etat se substitue donc au secteur privé, ce qui à un impact positif pour l’ensemble de la société, c’est le cas de l’Education vecteur deplus de la croissance endogène.

 

Outre des considérations économiques, l’intervention l’État dans l’Education s’appuie sur des considérations d’ordre sociopolitique. Sa prise en charge par l’Etat permet à l’ensemble des ménages d’y avoir accès à un coût inférieur à son prix de revient. Cette action est donc un instrument de justice sociale

 

3-       Sur l'ensemble de la période, faites une lecture de l'écart de taux de croissance de la productivité totale (ou globale) entre les Etats-Unis et la France ; les Etats-Unis et le Japon. (Doc 2)(1 point)

 

Entre 1950 et 1973 tous les ans les gains de productivité (la croissance  de la productivité) de la France sont de 2,17points supérieurs au gains de productivité des USA, la productivité française augmente plus vite que la productivité américaine

 

Entre 1950 et 1973 les gains de productivité (la croissance  de la productivité) du Japon sont de 3,95 points supérieurs au gains de productivité des USA, la productivité japonaise augmente plus vite que la productivité américaine

 

4-       En résumé, quels facteurs semblent jouer le plus grand rôle dans le rattrapage des Etats-Unis par d'autres pays développés ? (Doc 2)(2 points)

 

Avant la guerre les USA avait la plus forte productivité  l’ensemble des pays développés a partir des année 50 rattrapent leur retard par de fort gains de productivité, en effet les gains de productivité de la France l’Allemagne la Grande-Bretagne et le Japon ont tous eu pendant cette période à des degrés différents une croissance de leur productivité supérieure a celle des USA, L’industrialisation, le progrès technique, c’est adire les facteurs économiques contribuant à la croissance économique pendant cette période des trente glorieuses.

 

5-       Comment peut s'expliquer la montée de l'individualisme en Europe ? (Doc 3)(2 points)

 

Avec le modernisme apparu à la Renaissance l’individu devient central. La montée de l’individualisme s’explique avant tout par les idées véhiculées par les penseurs et artistes de cette époque, l’humanisme avec les valeurs de liberté et d’autonomie  de l’individu.

 

La reforme initiée par Luther et Calvin va dans le même sens, et valorise la responsabilisation de l’individu. Plus d’intermédiaire entre le croyant et Dieu.

 

Max Weber dans son ouvrage « l’Ethique protestante et l’Esprit du protestantisme en fait une analyse pour expliquer l’émergence du capitalisme

 

6-       En quoi l'individualisme est-il favorable au développement ? (Doc 3)(2 points)

 

Dans la société traditionnelle l’individu n’existe qu’en tant que membre d’une communauté il doit se conformer au groupe et se plier aux normes, les valeurs de ce type de société limite la mobilité sociale et géographique limite le progrès technique et donc freine le développement.

 

En revanche l’individualisme est favorable au développement dans le sens qu’il favorise l’initiative privée nécessaire à l’émergence du capitalisme. L’individualisme est à la source de la prise de risque, de  l’esprit d’initiatives et de l’innovation à l’origine du progrès technique.   Max weber, dans son ouvrage cité précédemment, explique en quoi celle valeur est nécessaire a l’esprit d’entreprise et propose d’expliquer que c’est parce que le protestantisme a développer l’individualisme que les révolutions industrielles ont démarré plutôt dans les pays protestants

 

 Question de synthèse (10 points) : Après avoir recensé les facteurs économiques du développement, vous montrerez que celui-ci résulte également de facteurs non économiques.

 

Introduction : accroche ; la croissance en Chine/ Afrique noire.

 

Définition du développement : Ensemble des transformations structurelles (économiques, sociales, politiques, etc.) qui rendent possibles et accompagnent la croissance économique et l'élévation du niveau de vie.

 

Problématiques : quels sont les facteurs qui permettent le développement ?

 

Annonce du plan

 

 

I)                    Les facteurs économiques sont nécessaires au développement….

 

 

     A) le progrès technique et les gains de productivité :

 

Q2 et Q3

 

·        Le progrès technique  cours Schumpeter

 

·        Gains de productivité : baisse des prix ...croissance du niveau de vie

B) la croissance  de la production nécessaire au développement….

 

 Cours + connaissances personnelles Exemples d’actualité………

 

·        Rôle de l’offre :

 

Croissance de la production agricole permet l’exode rural et de nourrir la population urbaine…

 

Croissance de la production industrielle /économies d’échelle/ rôle de l’investissement privé

 

·        Rôle de la demande : pouvoir d’achat/consommation… croissance du niveaux de vie

 

 

I)                    mais d’autres facteurs sont indispensables

 

A)      les facteurs culturels

 

Contexte culturel favorable : valeurs/normes

 

·        L’individualisme Q4 Q5  Valeur. favorable au développement………. Max Weber…

 

·        Crique de l’individualisme comme valeur fondamentale pour le développement l’ex de la Chine

 

B)      l’intervention de L’Etat

 

Q1 Q2

 

·        Mise en place d’un cadre favorable

 

·        Investissement et dépenses publics

 

Colbertisme, Keynes/Etat providence

 

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1 novembre 2007 4 01 /11 /novembre /2007 12:59
 

 
 
LUNDI / La valeur Travail
> L'économie en questions
par Caroline Broué et Olivier Pastré. réalisation : Doria Zénine.
le lundi 1er octobre 2007 de 11h à 12h

avec Dominique Meda, inspectrice générale des Affaires sociales, sociologue et chercheuse au Centre d'études de l'emploi (CEE)
Antoine Solom, Directeur du pôle Management et Ressources (Ipsos),
Bernard Brunhes, vice-président de BPI société européenne de conseil en ressources humaines et fondateur de Bernard Brunhes Consultants,
Thomas Philippon, économiste, enseignant l'économie financière à la Stern School of Business (New York University - États-Unis).


 
 
MARDI / Le travail dans les institutions culturelles
> La suite dans les idées
par Sylvain Bourmeau. réalisation : Doria Zénine.
le mardi 2 octobre 2007 de 11h à 12h

avec Célia Bense Ferreira Alves, docteur en sociologie, chercheuse associée au GETI,
Pierre-Michel Menger, directeur de recherche au CNRS et à l’EHESS,
Frédéric Poulard, docteur en sociologie, chercheur associé au GETI.


 
 
MERCREDI / Contrat de travail unique
> Le bien commun
par Antoine Garapon. réalisation : Doria Zénine.
le mercredi 3 octobre 2007 de 11h à 12h

« Contrat de travail unique. Connaîtra-t-il le même sort que le CPE en raison des mêmes problèmes juridiques ? »
avec Emmanuel Dockès, professeur à l'université de Dijon
et la chronique de Sébastien Miller, « La faute du juge »


 
 
JEUDI / Les conditions de travail en Chine
> La société des nations
par Madeleine Mukamabano. réalisation : Doria Zénine.
le jeudi 4 octobre 2007 de 11h à 12h

avec Alain Roux, agrégé d'histoire, professeur émérite des universités à l'INALCO, auteur de « Casse-tête chinois » (Messidor), de « Qu Qiubai (1899-1935) : « Des mots de trop » : l'autobiographie d'un intellectuel engagé chinois, Peeters » (Paris-Louvain, 2005),
et Jean-Luc Domenach, directeur de recherche à la Fondation Nationale des Sciences Politiques (CERI).


 
 
VENDREDI / Comment internet change nos pratiques au travail
> Place de la toile
par Caroline Broué et Thomas Baumgartner. réalisation : Doria Zénine.
le vendredi 5 octobre 2007 de 11h à 12h

avec Alain D’Iribarne, administrateur de la Fondation Maison des Sciences de l’Homme et directeur de Recherche au CNRS, spécialiste du travail, qui a été notamment Chef de Département au Centre d’Etude et de Recherche sur les Qualifications (CEREQ) et directeur du Laboratoire d’Economie et de Sociologie du Travail (LEST/CNRS).



  documentaires

 
 
Une semaine sur le travail
> Les pieds sur terre
par Sonia Kronlund. 
du lundi 24 au vendredi 28 septembre 2007 de 13h30 à 14h

  • lundi 24 septembre 2007 : SFR externalise
    Trois salariées du centre d’appel client SFR de Chasseneuil près de Poitiers témoignent.

  • mardi 25 septembre 2007 : La consultation 1
    Une matinée à la consultation de pathologie professionnelle de l’hôpital Fernand Vidal.

  • mercredi 26 septembre 2007 : La consultation 2
    Joëlle, secrétaire en entreprise, est en situation de souffrance professionnelle.

  • jeudi 27 septembre 2007 : Les boules
    Derrière le stade de football de Mulhouse, chaque après midi, des anciens de Peugeot se retrouvent pour une partie de boules ou de cartes.

  • vendredi 28 septembre 2007 : En finir à l’usine
    Bertrand, Michaël et Jean Luc sont salariés de l’usine Peugeot de Mulhouse.



  •   fictions

     
     
    Série sur le travail
    > Fictions / Perspectives contemporaines
    par Blandine Masson (coordination). réalisation : Jean Couturier.
    le samedi de 22h10 à 23h

  • samedi 22 septembre 2007 : L’argent, l’urgence de Louise Desbrusses
    Pour sortir son couple de la précarité, une femme quitte à contrecœur son atelier pour un emploi dans une grande entreprise. Plongée dans le monde du travail qui colonise tout. Jusqu'à l'amour.

  • samedi 29 septembre 2007 : L'os du doute de Nicole Caligaris
    Trois cadres à fort potentiel sont mobilisés sur un projet. Il s’agit d’en faire une totale réussite, de se montrer indéfectible, super-héros, semi-dieu jusqu’à… l’os. Une farce mêlée d’une ironie douce-amère.

  • samedi 13 octobre 2007 : L'entretien de Philippe Malone
    Texte polyphonique sur le monde du travail qui s'articule autour de la parole de trois femmes, emblématiques du monde d'aujourd'hui et des nouveaux rapports de forces au sein de l'entreprise.

  • samedi 20 octobre 2007 : Grande entreprise de Nathalie Kuperman
    Texte inédit mis en ondes par Jean-Matthieu Zahnd. Avec Judith Magre, Alice Butaud, Gaëlle Héraut, Alexandre Styker et Flora Brunier.

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